Le projet : fermer la maison et simplement s’en aller.
Où? A Nantes. Comment? Par les sentiers. Pourquoi?
Ah. Bonne(s) question(s). Pourquoi s’en aller? Ou pourquoi à pieds? Ou bien encore pourquoi Nantes?
S’en aller, c’est facile : par goût de la fugue, par atavisme nomade, peut-être. A pieds : parce que la marche assèche le corps et nourrit l’âme, c’est connu. Mais Nantes? Et bien… A cause de la biscuiterie LU.
Leurs beurrés nantais!
Mais pas l’inverse, n’est-ce pas : nantais beurrés – ne les vexons pas avant de les avoir rencontrés.
Et puis considérons le trajet lui-même : forêts profondes, cours d’eau, champs, moulins, villages – et la Loire, ses châteaux renaissance et ses vignobles… Beau programme, non?
Le matériel : 4 kilos d’essentiel dont un litre d’eau et un parapluie, plus une biographie de François 1er, tout de même, puisque de Fontainebleau à Nantes en passant par Chambord, on risque fort de croiser le bonhomme.
C’est parti!