Article paru dans la République de Seine et Marne du lundi 2 juillet.
A la découverte du titre : sang et tripes!!
Sourcils froncés, je songe d’abord aux quelques orages récents mais lecture faite dans l’ensemble, non, rien à voir : la partie interdite concerne en fait un tronçon d’environ 6 kilomètres, au beau milieu duquel j’avais cependant prévu de bivouaquer et qui porte encore les séquelles de la grave crue de 2016.
Bon! C’est moins grave que je ne l’ai craint d’abord.
Dans cette zone, la rivière est en permanence longée par son canal. Si jamais la navigation est empêchée par je ne sais quelle barrière ou filet, j’emprunterai le canal. Et hop.
Au vrai, il semble que seule une zone réellement dangereuse justifie l’interdiction : le déversoir de Portonville à l’entrée de Bagneaux, endommagé par les crues évoquées plus haut. L’interdiction est mise en place à cause des flottilles de canoës de location dont les utilisateurs ne sont pas toujours des pagayeurs aguerris – on ne prend pas de risque en zone touristique.
Bien. Mais le quidam qui circule – et s’assume – seul avec sa propre embarcation, lui, avisera calmement. D’autant qu’on peut accoster à Portonville et contourner à pied le déversoir à pied. Hé hé.
Un non problème, donc. Ouf.